Claude : concentré (j’aime ça) et entre deux eaux
Henriette : tranquille, je mets Patchouli de côté (mon nom de clown) j’en suis plus posée, plus sereine, disposée à faire dans la mesure de mes possibilités
Justine : ça va depuis que je suis là, vous m’avez manqué, le plaisir de retrouver ma famille, je vous souhaite une année 2017 meilleure que 2016, la santé, la foi, aller de l’avant
Hélène : des tensions dans le cou, c’est la séance luge d’hier … bien, en interrogation sur les Fêtes de la Paix, tranquille, les choses avancent bien, désolée de n’avoir pu aller voter
Marie : Bien, mieux, un peu désorientée depuis mon retour de Guinée, quand on s’engage tout n’est pas « plat ». En Guinée, pas d’électricité pour internet. Rester dans mon cœur, je réfléchis à quoi inventer, je lâche prise pour l’instant. Bonne année, paix et santé.
Dominique : dans une machine à laver, bousculée, vertige, je n’aime pas cet état, comment se fait il que j’en sois là ?
Henriette : je suis pour plein de petites Fêtes dans l’année plutôt qu’une grande Fête, c’est important de fêter la paix (voir marche des femmes en Israël)
Marie : je fête la paix tous les jours quand je me lève, le mets la musique, je danse ; Heureusement qu’il y a les Fêtes de la Paix, la vie est courte et longue à la fois. Mon domaine serait les enfants, apporter quelque chose.
Claude : c’est un nouveau départ, je vis des turbulences. L’Oasis c’est pour incarner la déclaration d’intention. J’observe comme une débandade, peu de monde s’engage.
Marie : les gens ne vont pas bien, ils ont peur de s’engager, de découvrir la joie.
Justine : les bonnes choses ne prennent pas l’avion, elles viennent à pied, c’est long, ça prend du temps, on ne doit pas lâcher, petit à petit, les gens ne viennent pas parce que c’est bon, il faut tenir, mettre l’énergie dans l’oasis. Moi je suis comme un pitbull, je ne lâche pas.
Hélène : c’est spécial, j’ai été sur internet voir les grandes organisation (ONU, Unicef, Mouvement de la Paix …) pour la journée de la paix du 21 septembre, à l’international, rien pour 2017, sauf le discours du Pape François en début d’année.
Il y a de belles choses autour des Fêtes de la Paix, l’Oasis, la perma-culture. Nous avons initié une table ouverte. Je suis OK pour participer mais pas de porter comme avant dans la préparation, donner un coup de main oui mais pas tirer.
Dominique : les gens ont peur de s’engager pour la joie, il y a tellement de choses négatives, ils ne sont plus capables de ressentir ce qui est bon pour eux. J’ai envie de plus de simplicité, que ce soit plus facile. Une grande marche pour l’espoir avec la Fête au bout, plus simple.
Martine : une marche oui, super, quelque chose pas seulement une fois, toutes les semaines, des rappels. Dans les Fêtes de la Paix il y a eu plusieurs thèmes, j’ai un DVD sur les Amanins, nous avons le même esprit, lieu partagé, joie. Visiter des endroits qui ont déjà démarré une oasis, qui ont une expérience, ça émerge de partout, ça va déboucher sur autre chose.
Claude : la liberté c’est pas confortable, le collectif c’est difficile, je me demande pourquoi les gens ne s’engagent pas, que devons nous remettre en question ? Les gens pensent qu’ils font déjà quelque chose pour la paix ? Qu’il y a autre chose à faire ? Pour moi c’est simple, vu ce qui se passe, on a plus le choix que de s’engager, c’est ce qui est le plus confortable, entre la vie et la mort il y a la renaissance.
Hélène : je suis OK pour m’engager si le leadership est collectif, que je peux me tourner vers d’autres personnes.
Martine
Dominique (Henriette s'associe à ce projet)
Claude : Les projets sur lesquels je suis prêt à travailler
Hélène : Mes engagements :